Stéphane PIPET a posé ses valises d’entraineur au CSVV et il s’occupe aujourd’hui du groupe séniors, élargis aux U18. Mais son arrivée ne date en fait pas de cette saison… Bien qu’il n’aime pas vraiment se mettre en avant, il nous confie ses impressions de début de saison…
Alors, ce match de dimanche dernier ?
Nous pouvons être satisfait d’avoir franchi ce tour de coupe des Deux-Sèvres sans encombre, car il n’est jamais si facile que cela de s’imposer chez un adversaire présumé plus faible. Les gars ont fait le boulot sérieusement, même s’il a fallu attendre le dernier quart d’heure de 1ère mi-temps pour faire la différence.
Quel est ton rôle au sein du club ?
Je suis entraîneur du groupe séniors avec intégration des U17 et U16 du club lors des entraînements.
Comment sens-tu le groupe séniors cette année ?
Nous disposons d’un potentiel de plus de 30 joueurs avec plusieurs arrivées et d’autres peut-être annoncées, ce qui nous permet de bénéficier de deux équipes.
Le groupe est de qualité avec un nombre relativement important ayant le niveau de l’équipe 1 en plus des jeunes qui vont vite frapper à la porte, ce qui crée une concurrence et une émulation certaine.
Ton arrivée chez nous, un vieux projet ?
Pas un vieux projet, mais une forme de logique puisque je suis éducateur depuis 2 ans mais bénévole depuis 2008 lorsque mon fils a intégré le club.
Après ta longue expérience à l’Absie Largeasse, comment te sens-tu chez nous ?
J’ai la chance de bien connaître l’environnement du club, ses structures et dirigeants, ce qui facilite grandement l’adaptation.
Même si le contexte est différent, je sens globalement une bonne mobilisation des joueurs et dirigeants.
L’ambiance est agréable, et le sera encore plus avec l’ouverture du club-house.
Quelles sont tes ambitions pour cette saison ?
Pas d’ambition particulière, même si l’on souhaite jouer le haut de tableau, voire plus, évidemment, et aller loin en coupe.
Je pense aussi à l’équipe 2 qui doit réussir un bon parcours en 5ème division. Nous ferons un premier bilan à la trêve.
Merci à toi Stéphane, bon vent chez nous !
David